stella joyce roseburry
[citation]
âge | lieu de naissance 24 ans à New York. origines | nationalité Stella est américaine, elle ne connaît pas ses origines à part qu'elle a de la famille à Boston. situation financière ($), elle travaille comme babysitter, malgré un master en psychologie. statut civil célibataire. orientation sexuelle hétérosexuelle. caractéristiques physiques Stella est minuscule, et a de grands yeux bleus. Elle ressemble à une poupée. secret inavouable elle croule sous les dettes et est pratiquement ruinée. lieu favoris La mer a quelque chose de relaxant. traits de caractère douce, gentille, maladroite, charmante, cultivée, mature, amusante, romantique, affectueuse, sensible, un peu timide, possessive, gourmande, rêveuse, un peu snob parfois. groupe mankind.
[ keep holding on ]Stella a obtenu un diplôme en psychologie l’année dernière. Impossible cependant de trouver un travail et avant de se faire expulser de son appartement, elle a postulé pour le job de babysitter chez les Bloomberg.
Son appartement de l'East Village lui coûte une fortune, et ce bien qu'elle ait une colocataire.
Elle n’a eu qu’un seul petit ami par le passé. Il s’appelait Martin, son père était le directeur du FBI de New York. Malheureusement cela ne s’est pas très bien terminé et ils sont toujours en froid. Stella espère pouvoir se réconcilier avec lui un jour.
Petite elle a appris la danse classique, les claquettes et la GRS. Elle a du arrêté parce que tout ça devenait trop cher en plus de prendre trop de temps.
Elle n’est pas du genre à beaucoup se maquiller.
Son père est professeur d’astronomie à Columbia, et passionné d’étoiles, c’est pour cela qu’il a nommé sa fille Stella, qui veut dire étoile en italien. Lorsque Stella était petite, il lui montrait souvent les étoiles le soir.
Stella considère ce job de babysitter comme une aubaine, parce qu’elle ne savait pas réellement quoi faire avec son diplôme. Elle peut maintenant prendre du recul et se pencher sur les options qui s’offrent à elle.
[ some old memories ]Une petite matinée de libre. Les parents Bloomberg avaient embarqué leurs progénitures au village, souhaitant passer un peu de temps avec eux. Madame Bloomberg avait même été plutôt gentille (pour une fois) et lui avait proposé de paresser un peu au lit pendant qu’elle s’occuperait de tout. Une sorte de récupération du temps de travail, si l’on veut. Et puis, il faut préciser que Stella n’avait pas pu dormir la nuit dernière. Croiser Adam, verrouiller son regard dans ses yeux l’espace d’une minute et se tromper complètement, voir ses espoirs réduits à néant. Toute la nuit elle avait repensé à ce moment qui n’avait appartenu qu’à eux seuls. Si elle ne pouvait jamais être à lui, au moins, elle aura toujours ce moment. Les sentiments de Miss Roseburry étaient de plus en plus confus, se sentant si proche et à la fois si loin.
Une petite matinée de libre, donc. Un moment à savourer un petit déjeuner au lit que le cuisinier lui avait préparé avant d’aller au marché. Elle n’avait plus trop le goût de ces pâtisseries luxurieuses, même le macaron aux framboises ne lui donnait pas si envie que ça. Cependant, elle se força à ingurgiter le petit gâteau français et disparu dans la salle de bain pour prendre sa douche. Les pensées toujours engourdies, elle ouvrit la porte de la cabine et tomba nez à nez ou presque avec celui qui avait complètement retourné son esprit. Paniquée, tout autant qu’Adam d’ailleurs, elle attrapa sa serviette pour cacher son corps frêle et minuscule. Veuillez m’excuser sont les seuls mots qui s’extirpèrent des lèvres de son patron avant qu’il ne disparaisse lui seul savait où. Que faisait-il donc là? Après tout il était chez lui, mais Stella pensait avoir la maison pour elle toute seule ce matin. Elle écouta un instant contre la porte, aucun bruit, pas un cri ou un rire d’une petite tête blonde, pas de mouvement, rien que le silence et l’océan qu’on pouvait à peine percevoir derrière la porte fermée. Adam était donc seul. Son rythme cardiaque était toujours bousculé, il lui fallut un moment pour le calmer et s’enfuir dans sa chambre, à la recherche de calme dans ses draps sans doute encore chaud. Elle y resta un bon moment, les yeux dans le vague, fixant sans le voir le plafond de sa belle chambre qui donnait sur l’Atlantique.
Une petite matinée de libre presque terminée. Ils allaient sûrement rentrer. Stella était à deux doigts de se forcer à se persuader que cet épisode n’était qu’une hallucination et pourtant, il l’avait vue nue. La jeune femme n’avait pas à rougir de ses formes certes, peu proéminentes, mais qui avaient le mérite d’être dans la moyenne. Certes elle ne se trouvait pas parfaite mais elle était loin d’être hideuse. Ce qui était peut-être un peu décevant, c’est qu’Adam n’avait plus rien à imaginer maintenant, comme si le mystère n’avait plus lieu d’être. Enfin encore fallait-il qu’il y eu mystère. Choisissant dans son armoire ses sous-vêtements, elle fut à nouveau surprise mais cette fois, par de légers coups à la porte. Un timide oui autorisa le visiteur à surprendre à nouveau sa babysitter à moitié nue, couverte cette fois-ci par une petite serviette, une petite culotte colorée dans la main droite. Trop paniquée pour dire un mot. Et pourtant, elle en aurait des choses à dire, comme le taquiner, en lui disant qu’elle espérait que la surprendre ainsi n’allait pas devenir une habitude, elle détendrait l’atmosphère par la même occasion. Mais non, plus aucun son ne voulait sortir de sa gorge. “Je voulais… Je vais repasser à un autre moment,” se résigna-t-il, avant qu’elle l’en empêche in extremis. “Non, restez,” réussit-elle à articuler. Il ne bougea pas, il resta là, la fixant à nouveau comme la veille au soir, et à nouveau, Stella reprit espoir. “Je suis vraiment désolé j’aurais du frapper tout à l’heure,” s’excusa-t-il. Il avait l’air de dégager beaucoup de sincérité. Un sourire gêné illumina son visage et Stella agrippa sa serviette comme si elle allait tomber. “Ne m’en voulez pas si je dis que ne suis pas désolé de ce que j’ai vu dans cette salle de bain,” osa son patron avant de décamper comme si tout cela n’était jamais arrivé. Surprise par ce revirement de situation, le sourire s’élargissant de plus en plus, c’était bien de l’allégresse qui emplit le coeur de la demoiselle. Elle n’allait pas jusqu’à reprendre espoir, mais pour un homme qui ne parlait que très peu, Adam avait dit beaucoup de choses en si peu de temps. Ce qui était bon signe.
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