Oswald Crossman
bury me alive 'cause someone must get hurt and it won't be me
âge | lieu de naissance 40 piges qui prirent vie à NYC dans le quartier moisi du Bronx. origines | nationalité L'Italie qui fornique avec l'Irlande mais marquage au fer brûlant ; L'Amérique sur les papelards. Terre sainte des immigrants situation financière ($$$$$) Crossman. Le nom qu'on retient. Le nom qui s'oublie pas. Plus. Le nom sur le bout des lèvres lorsqu'on cherche à toucher le ciel du bout des doigts. Roi d'un réseau de neige. Une des meilleures sur la zone. PDG d'une entreprise montante aux consonance mafieuse. Il se remplit les poches des addictions des autres. Les balance dans le gouffre en comptant son pognon. Votre déchéance ; son bonheur. Alors, si tu veux te repoudrer l'nez, viens chez Crossman ! Une ristoune dès 300 $ atteint ! statut civil Solitaire. Trop aveuglé par la soif de pouvoir. De vengeance pour se laisser tomber dans le merdier de la vie de couple. Pas assez con pour ça. Trop connard pour ça. orientation sexuelle Les formes généreuses d'une femme, il préfère. Hors du sentier de l'hétérosexualité, c'est la perdition. caractéristiques physiques Deux bras et deux jambes ; une cervelle un peu sadique ; le muscle cardiaque souvent éteint ; un humain pas constitué de façon très différente d'un autre. Peut-être des cicatrices qui traînent ci et là. Vestige du passé. Vestige d'objets un peu trop coupants. Trophée d'une violence colérique nécessaire. Impérieuse. secret inavouable Ca lui arrive. Ouais. D'ressentir des scrupules. Des remords. Mais ça, plutôt crever que l'avouer. Alors ça enterre. Ca étrangle pour que la vérité reste toujours morte ... quelque part. lieu favoris Coney Island. Plutôt étrange vu l'énergumène. Mais il aime la musique beaucoup trop forte. L'ambiance légère. Les rires. Les sourires. Toutes ces choses qu'il ne s'autorise plus. Pas le temps. Pas l'envie. Dédié à autre chose. traits de caractère Oswald, c'est la froideur inéluctable. La placidité éphémère rapidement bouffée par une colère dévastatrice. Oswald, c'est le sourire carnassier d'un sadique prêt à faire souffrir sa proie. Prêt à torturer son ennemi. Osmald, c'est la soif du pouvoir, la soif des hauteurs pour mieux mépriser ceux qu'il côtoie désormais. Le mépris des riches qu'il rejoint dans les rangs. Le loup dans la bergerie. Oswald, le bon du mauvais. L'âme pas entièrement sombre. Pas totalement immaculée. Oswald, ça cherche pas les embrouilles mais ça sait y répondre quand on le provoque trop. Oswald, ça observe plus que ça ne gueule. Ca étudie chaque faits et gestes car ils disent plus la vérité que les mots hypocrites. Oswald, ça sait être loyal et juste, ça supporte juste pas d'être couillonné. Oswald, ça ne pardonne jamais. Ca n'offre jamais de secondes chances. Oswald, ca a l'oppression facile. La prépondérance dans la voix. L'orgueil avec. L'instance dans chaque décibels. Oswald, un chinois dans le cors d'un occidental. le sens des affaires. Les comptes sont toujours fait au carré. Le moindre impayé il le récupère flingue sur la tempe. groupe Anger.
[ keep holding on ]I. Catholique à ses heures perdues. La foi n'est plus réellement vivante dans ce brasier ardent mais les habitudes sont dures à perdre. Education religieuse ancrée dans la peau. Oswald se rend à la messe. Donne parfois un peu de pécules aux oeuvres de charité. Va à la confession. Allume des cierges pour ses parents. Mais il n'est pas enfant de dieu pour autant.
II. Fils d'une mère honorable, il respecte la femme mais n'aurait aucun scrupule à lever la main sur l'une d'entre elle. Oswald, il traite tout le monde à la même enseigne, peu importe leur genre. Les femmes ont pinaillé pour l'égalité des sexes ? Oswald la leur offre. Assumez maintenant.
III. Homophobe sur les bords ; l'éducation religieuse sûrement pour quelque chose. L'homosexualité, ça lui fout la gerbe.
IV. Toujours une clope au bec. Eteindre une pour en rallumer une à la chaîne. Ca tousse ses poumons mais ça fume toujours.
V. Né pauvre. Au service de riches. Mère gouvernante. Père jardinier. Le bas de la chaîne alimentaire. Piétiné. Méprisé. Rabaissé. Sur leurs têtes, les riches venaient chier.
VI. Lecteur confirmé. Oswald dévore autant de livres qu'il peut. Il parfaire sa culture. Ses connaissances. On en apprend tous les jours jusqu'à sa mort.
VII. Nouveau riche. Il a fait son ascension à NYC et continue de faire fleurir son business. Il vient de terminer de construire sa propre villa dans les Hamptons et y vit désormais.
VIII. Il graisse la patte des procureurs, des autorités pour avoir la paix. Toujours en liberté jusqu'à aujourd'hui ... pour combien de temps ?
IX. Il traque les assassins de ses parents. Les chiens qui se sont amusés à torturer ses parents pour l'atteindre. Touché coulé. Deux du groupe gisent sous terre, dans son jardin, nourrissant ses pétunias. Engrais hors du commun. Un sourire froid qui étire ses lippes lorsqu'il contemple les parterres de ses fleurs. Les autres y finiront bientôt. La vengeance est un plat qui se mange froid.
X. Oswald possède tout un tas d'employés de maison mais il y a une seule chose qu'il s'occupe de lui-même : le jardin. Il aime ça, jardiner. Son père le lui a appris. Son tout premier métier. Oswald se montre bien plus tendre avec la verdure qu'avec le genre humain.
XI. Perfectionniste sur les bords. Névrosé parfois. Tout est rangé. Ordonné de façon symétrique. Le moindre détail a toujours son importance.
XII. Une histoire d'amour avec la mauvaise personne. L'héritière pleine au as. Fille unique dont le paternel n'a pas apprécié l'oeuvre de Cupidon. La nouvelle se propage comme le sida. Les Crossman répudiés. Pointés du doigts. Des élitistes s'amusent à s'en prendre à ses parents pour le punir d'avoir toucher une des leurs. D'avoir cru toucher le ciel dont il n'était pas destiné. Les riches contres les pauvres. Le pauvre perd toujours ...
plus maintenant.
XIII. Crossman. Signe de croix gravé au couteau sur le front pour punir. Pour buriner son existence. Marque de son passage. Honneur macabre à son nom. Le signe de son cartel de ses débuts jusqu'à aujourd'hui.